Le fondateur de Telegram, Pavel Durov, a récemment fait l’objet d’une enquête formelle de la justice française. Le parquet de Paris a publié un communiqué énumérant un certain nombre de crimes dont Durov est soupçonné, notamment des transactions illégales, le refus de coopérer avec la surveillance judiciaire, la participation à la diffusion de contenus illégaux, le blanchiment d’argent et les services cryptographiques non déclarés.
Plus précisément, les crimes dont Durov est accusé comprennent :
Aider à la gestion de plateformes en ligne qui facilitent les transactions illégales organisées, un délit passible d’une peine pouvant aller jusqu’à 10 ans de prison et de 500 000 euros d’amende.
Refus de fournir des informations ou des documents nécessaires à la surveillance légale à la demande de l’autorité compétente.
Se livrer à de multiples activités illégales, y compris la diffusion de programmes ou de données utilisés pour attaquer les systèmes de traitement automatisé des données, l’organisation de la distribution de pornographie juvénile, le trafic de drogues, la fraude organisée et la participation à des gangs criminels.
Activités de blanchiment de capitaux suspectées d'organiser des crimes ou des délits.
Fournir des services de cryptage avec des fonctions de confidentialité, mais ne pas faire de déclaration de conformité.
Mise à disposition et importation du cryptage sans faire les déclarations nécessaires à l’avance.
Les allégations vont des crimes technologiques aux préjudices sociétaux, reflétant l’examen minutieux des plateformes numériques par les forces de l’ordre. En tant que fondateur de Telegram, les actions de Durov sont considérées comme susceptibles de constituer une menace pour la sécurité publique et l’ordre public.
L’incident a suscité un débat sur l’équilibre entre les responsabilités des plateformes numériques, la protection de la vie privée des utilisateurs et la nécessité de faire respecter la loi. Au fur et à mesure que l’enquête s’approfondit, les communautés technologiques et juridiques suivront de près l’évolution de l’affaire et ses implications possibles.
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Hash_Bandit
· 06-25 07:42
stacking sats n mining depuis '13... fais confiance au code, pas aux costards fr fr
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BlockchainBouncer
· 06-24 16:13
Pilule, le prochain sera signal.
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HashBard
· 06-24 16:12
les normies ne comprennent tout simplement pas... la vie privée n'est pas un crime bordel
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SignatureVerifier
· 06-24 16:10
*allégations statistiquement improbables* pour être honnête... classique dépassement de pouvoir du gouvernement
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FlashLoanLord
· 06-24 16:08
Les Français sont pressés, n'est-ce pas ?
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SerumSurfer
· 06-24 16:06
Selon les informations du secteur, c'est un véritable marteau.
Durov, le fondateur de Telegram, fait l’objet d’une enquête de la justice française pour un certain nombre de crimes graves
Le fondateur de Telegram, Pavel Durov, a récemment fait l’objet d’une enquête formelle de la justice française. Le parquet de Paris a publié un communiqué énumérant un certain nombre de crimes dont Durov est soupçonné, notamment des transactions illégales, le refus de coopérer avec la surveillance judiciaire, la participation à la diffusion de contenus illégaux, le blanchiment d’argent et les services cryptographiques non déclarés.
Plus précisément, les crimes dont Durov est accusé comprennent :
Aider à la gestion de plateformes en ligne qui facilitent les transactions illégales organisées, un délit passible d’une peine pouvant aller jusqu’à 10 ans de prison et de 500 000 euros d’amende.
Refus de fournir des informations ou des documents nécessaires à la surveillance légale à la demande de l’autorité compétente.
Se livrer à de multiples activités illégales, y compris la diffusion de programmes ou de données utilisés pour attaquer les systèmes de traitement automatisé des données, l’organisation de la distribution de pornographie juvénile, le trafic de drogues, la fraude organisée et la participation à des gangs criminels.
Activités de blanchiment de capitaux suspectées d'organiser des crimes ou des délits.
Fournir des services de cryptage avec des fonctions de confidentialité, mais ne pas faire de déclaration de conformité.
Mise à disposition et importation du cryptage sans faire les déclarations nécessaires à l’avance.
Les allégations vont des crimes technologiques aux préjudices sociétaux, reflétant l’examen minutieux des plateformes numériques par les forces de l’ordre. En tant que fondateur de Telegram, les actions de Durov sont considérées comme susceptibles de constituer une menace pour la sécurité publique et l’ordre public.
L’incident a suscité un débat sur l’équilibre entre les responsabilités des plateformes numériques, la protection de la vie privée des utilisateurs et la nécessité de faire respecter la loi. Au fur et à mesure que l’enquête s’approfondit, les communautés technologiques et juridiques suivront de près l’évolution de l’affaire et ses implications possibles.